Baronnie Châteauneuf-sur-Cher
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Baronnie Châteauneuf-sur-Cher

Jeux de rôle famille Ambpare suite du jeux des royaumes renaissants
 
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 [RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ?

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asterie
Dame du domaine
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asterie


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[RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ? Empty
MessageSujet: [RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ?   [RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ? EmptyMer 1 Aoû - 21:33

Orian

« J'en ai connu des fieffées sallopes*, mais celle là... Ben elle est juste pas fieffée...» [Orian.]



Il était courant lors des soirées à Châteauroux de croiser le jeune de la Rose Noire en taverne, mais ce soir là il y rencontra du monde ! Quoi ça vous parait normal à vous ? On voit que vous n'êtes jamais allés à Châteauroux, depuis la fin de la guerre plus personne ne sort et les tavernes sont déserte ! Bref ce soir là il y avait deux personnes, un gueux insignifiant et une brunette à l'air noble, il eu très vite confirmation pour son sang lorsqu'elle se présenta, Meagan d'Ambparé. Ah il connaissait bien ce nom le blondin ! Il le connaissait pour avoir proposé une nuit de rêve à la matrone ! Toujours étant qu'il se passa tout un tas de choses pendant cette soirée/nuit et comme j'ai grave la flemme d'écrire je vais faire un bref résumé.

-Jaspinades
-vole d'arme
-menaces
-récupération de l'arme.
-bataille puis blessures.
-se faire raccompagner chez soit par l'Ambparé.
-Puis tout bon vicieux qu'il soit, insister pour qu'elle reste dormir.
-Prétexter le danger du Berry la nuit pour convaincre.
-Ne pas réussir à converger.
-S'endormir sur la béquille.

Le lendemain on recommence comme en l'an quarante ! Il se réveille avec la même béquille qu'au soir précédent, celle du matin, et le blond de se lever d'un bond et de courir aux latrines.Ensuite il revient, il est poli courtois et lui propose de la ramener à la baronnie, elle accepte, il se rhabille et l'entend marmonner dans son coin. Fronçant les sourcils il s'approche et lui demande ce qui ne va pas, elle lui répond sèchement qu'il n'y a rien, agacé à la fois par son comportement et par le refus de la veille pour un coït il l'as jette sur le lit et tente de l'embrasser mais elle ne se laisse pas faire et le menace, il lui dit alors de partir, mais elle l'insulte alors dans les escaliers.

Il suffit taisez vous et partez ! Vous allez réveiller le loup !**

C'est alors qu'il la pourchasse dans les escaliers pour rosser son insolence, mais alors qu'il la plaque contre un mur et sort sa dague, Christian son serviteur l'en empêche et le bloque. Alors qu'Orian se débat la gazoute s'enfuit jusque dans la cuisine.

Non Sieur ! Rappelez vous comme nous avons eu du mal à nous débarrasser des preuves pour la précédente ! Surtout que celle ci est noble ! L'autre n'était qu'une catin !

Trop tard elle avait réveillé le loup. Un coup de coude dans l'estomac de Christian et le Sidjéno de repartir à la recherche de sa proie. Quelques portes poussées et nous voilà dans la cuisine, le souffle apeuré de la proie se fait entendre et le prédateur de se baisser pour l'observer. Elle à un couteau dans la main, lui à une dague. Qui des deux frappera le premier ? C'est alors qu'une voix retenti dans son dos celle de son alcoolique de cousin qui vient encore quémander de la poire. Agacé Orian lâche la proie des yeux et celle ci en profite pour s’échapper après avoir frappé insulte les deux protagonistes. Elle s'enfuit alors dans le bureau et fini par sauter par la fenêtre alors que Zelgius tente de défoncer la porte à coups de haches. Orian lui est en bas et tente de récupérer les papiers important que la gazoute c'est amusée à lancer par la fenêtre.

Une main le pousse et le blond tombe au sol, lâchant les correspondances. Il se relève et lui court après se sachant talonné par le Champlecy, mais il est trop tard, le souffle manque et la gazelle cours bien vite.

Zel, laisse; je vais écrire à sa mère !

Les talons tournent et le blond ordonne à ses serviteurs de ranger le bazar. Il monte dans son bureau accompagné de son cousin et commence noircir un vélin.

Citation :
Baronne bonjour,

Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, je suis Orian de la Rose Noire Sidjéno le fils d'Oufette de la Rose Noire et de June Sidjéno.
Je vous écrit au sujet de votre fille, Meagan. Je trouve que cette gazoute à un comportement fort déplaisant et cela m'étonne
sachant qu'elle est votre fille, je connais votre sens de l'éducation d’où mon étonnement.

C'était hier en taverne à Châteauroux, votre fille m'as allumé si je puis dire,
et lorsque j'eus répondu à ses avances -j'ai une libido à assouvir- elle me donna un coup de tête qui me fit tomber en arrière contre une table et m'ouvrit le crane, à cet
instant j'eus regretté qu'elle ne sache soigner comme vous, je me fis donc un bandage moi même. Rongée par la culpabilité elle me raccompagna chez moi, comprenez, généralement lorsqu'une fille me
raccompagne chez moi, ce n'est pas pour jouer aux cartes.

D'ailleurs celle ci resta dormir chez moi et ce dans mon lit, mais tout cela en se refusant à moi. Chose dont je n'ai pas l'habitude non plus.
Ce matin au réveil je lui propose de la ramener à la Baronnie, bien qu'elle se soit refusée je n'en reste pas moins bien élevé. Mais voici que j'entends cette dernière maugréer dans mon dos, je lui
demande alors ce qui ne va pas, et elle se met à me menacer de m'éclater le crane comme la veille, surpris je tente alors de la calmer, mais elle continue de me provoquer,
je m'énerve alors- vous devez connaitre le tempérament des de la Rose Noire ?- Je lui dit de partir ce qu'elle commence à faire, mais en m'insultant en Français. Qu'elle m'insulte je ne suis pas trop pour, mais elle pourrait au moins le faire en berrichon.

Il s'en ai suivit tout un tas de choses dont des menaces et des gifles, mon cousin Zelgius est arrivé et elle l'as frappé à son tour, vous devez connaitre votre filleul il ne se laisse pas frappé ainsi, il est donc parti à sa poursuite et votre fille s'est enfermée dans mon bureau et m'as volé des papiers qui me sont très précieux. Échange de courriers professionnel ect.
Je ne me serais pas plaint à vous s'il n'y avait eu que les insultes et les coups, mais j'aimerais vraiment récupérer mes papiers.


Bonne journée bien à vous,

Il plia le parchemin et le donna au jeune Julian lui indiquant de l’amener directement au juge du Berry.

Zelgius

Lundi 16 Juillet 1460. Jour de fête, le nouveau conseil ducal prend sa place, le bordel rapporte de l'argent, la compagnie fait son oeuvre. Le Champlecy a tout pour être heureux. Mais non... La nuit passée l'a démuni de sa dernière bouteille de poire... Ainsi donc, qui va-t-il extorquer si ce n'est son cousin ? Personne, et puis ça lui donnera l'occasion de le revoir. Bé dame la vie a tout pour plaire au brun, mais quel intérêt à vivre s'il n'y a d'amusement que les affaires ? Ainsi donc, et sans frapper, Zelgius entre chez Orian. Entendant cris et plaintes dans la cuisine, le brun s'y dirige...

Orian, j'ai besoin d'une de tes bouteilles. Qui c'est celle là ? Encore une catin qui n'veut pas qu'tu la sautes ?

Et oui, le brun est poli. Il dit ce qu'il pense quand il pense. Bref. Le temps file, le brun apprend que la "catin" est l'une des filles Ambparé... La famille de sa marraine donc. Première réaction : faire arrêter Orian. Seconde réaction ? La torturer ! Car oui, la brune s'est permise de lui asséner un coup de tête et de s'opposer à l'une de ses décisions
Le temps file à nouveau, et le brun lance une lame dans la gorge d'un paysan à qui la gazoute veut confier des documents. Continuant à courir derrière elle alors que son cousin lui lance de s'arrêter, il se penche plutôt pour retirer la lame de la gorge du béda. Le Rose Noire brun se tourne vers le Rose Noire blond.

Qu'est ce qu'elle a prit ? Il y avait quoi dans ces papiers ?

Se penchant pour récupérer le parchemin détenu par les doigts rigidifiés du paysan, en parcourant rapidement le contenu... Les yeux s'écarquillent à mesure de la lecture qui s'accentue... Le parchemin est écrit de sa main, certains détails concernant les buts premiers de la compagnie. Doucement, le regard se reporte sur Orian.

Orian... Ne me dis pas que tu laissais ça en évidence !? Il n'y avait pas la liste au moins ?! Orian réponds-moi !

Le brun s'emporte. L'idée que certains secrets soient révélés trop vite ne plait pas. Son cousin part écrire une missive, lui part fouiller les paperasses au sol...

Meagan

[Quelques minutes après le poursuite dehors.]

Meagan s’arrêta de courir dix à vingt mètre plus loin, elle avait pris une rue vers la gauche après elle avait coupé une place, elle tourna ensuite à droite puis à gauche ou non... Encore une fois à droite, enfin tout cela pour finir, par un pur hasard devant la mairie de la ville de Châteauroux. Elle se plia en deux la main sur ses genoux pour reprendre son souffle, elle croyait ne jamais avoir courue aussi vite aussi longtemps sur tout quand elle était poursuivie par un sieur, enfin non deux sieurs. D'habitude elle se serait arrêtée et aurait discuter pour régler l'affaire ou alors elle aurait appelée de l'aide peut être que sa aurait marché, mais avec les deux De la Rose Noire elle a compris qu'il fallait mieux courir. Elle les connaissait peu, très peu même, mais assez pour pouvoir dire que c'est gens là, du moins c'est deux là, se sont des brutes, des infidèles, des assassins, des... Enfin elle ne voulais pas s'emporter et arrêta ses dires ici.

Une fois son souple reprit, elle se dirigea vers la baronnie de sa mère, c'est là qu'elle résidait durant son séjour au Berry, qui avait, pour l'instant, mal commencé. De sa faute ? D'accord, son frère lui avait dit et interdit de rester seule dans une taverne avec un homme mais là c'était différent, elle avait, accidentellement, ouvert la tête du sieur par laquelle il jaillissant du sang jusqu'à ce que il est mit un bandage. Bien évidement, elle n'allait pas le laisser là en taverne, donc elle l'a raccompagné, c'est cela qu'elle regrettait, l'avoir raccompagné... Enfin, trêve de pensée, elle arriva au domaine, le portier lui ouvra bien gentiment comme à son habitude. elle fila dans sa chambre sans croiser d'autre personne ni sa mère ni une servante, personne.

Elle s'assit sur le lit et se calma un petit peu. Jusqu'à temps qu'elle repense à ça ! Oui elle les avait oubliés ! Ses sauveurs peut être qui permettrait de connaitre mieux les deux sieur de la Rose Noire. Elle prit les trois papiers qu'elle avait volontairement pris sur le bureau du sieur Orian, elle pensait que peut être elle pourrait connaitre une info inconnu par tout le monde sauf eux. Elle lut, au fur et à mesure qu'elle lisait son visage se décomposait. Elle s'empressa alors de ce mettre à son bureaux et d'écrit sur un parchemin, quoi ? Vous le saurez bien assez tôt.

Citation :
Orian,

Comme tu le sais, la plupart de nos marchandises proviennent du Sud et de l'Ouest, mais si on veut continuer à gagner assez d'or pour augmenter la qualité il va falloir qu'on aille en chercher en DR et en Bourgogne...
La demeure actuelle ne sera donc plus assez grande pour tous les accueillir, je suis entrain de négocier pour deux entrepôts sur la route des lôches, on ne devrait pas avoir trop de passage là-bas. La prochaine entrée d'argent aura lieu dans trois jours au lieu habituel, tu pourras en profiter gratuitement au passage bé dame... À ce propos, l'histoire avec les argousins est réglée, ils ne nous causeront plus aucun souci.

Citation :
Orian,

Je me doute que l'on parle beaucoup de Poum à Limoges... C'est là-bas qu'elle a été tué après tout.
C'est... C'était différend. Je ne sais pas comme l'expliquer dans une lettre... Mais elle était là. A travers la mort.
Je sais gérer les ennuis... Je ne me suis confirmé que quelques ennemis, rien de bien grave.

Elisa de Malmort dis-tu... ? Cette gangrène de famille est vraiment partout ! A chaque information que tu obtiendras, nous ajouterons cela à la liste Orian. Et nous la vengerons ! Ensemble nous la vengerons !

Guilhem doit se cacher quelque part dans le manoir des Malmort... Tortures en un ou deux pour le trouver. Je pense que tu le trouveras plus facilement ainsi.

Avec toute ma gratitude pour tes recherches,
Et ne va pas te faire tuer à Limoges toi itou !

Zelgius

Citation :
Liste de personnes à tuer :

La Déols [nom rayé]
Alexander-Romaric d'Emerask-Ambroise
Elisa d'Oulvenne Malemort
Aldraien de Malemort Carsennac

Une fois son écriture fini, elle cacha les trois papiers qu'elle avait. Elle sortit de sa chambre alla dans une autre salle et les cacha, bien comme il faut, personne devait pouvoir les trouver.

Une fois revenue au point de départ, dans sa chambre, elle voulait agir, écrit au personnes concernés dans l'affaire, mais que dire ? Elle avait pris les papiers en les volant. Peut être simplement dire qu'elle à était pigée et que l'on a essayée de l'assassiner à la police de la ville. Mais les de la Rose Noire était trop fort pour elle, fils du duc actuel du Berry, déjà cela décourage à le faire puis elle fini par conclure que ici, au Berry, elle ne connaissait personnes, elle ne pouvait demandé de l'aide que à sa mère qui, peut être, allait la comprendre elle, enfin elle espéré malgret que le sieur Zelgius un des agresseurs, est son filleul... Elle décida d'aller parler à sa mère après. Après avoir pris son bain, rien de mieux pour se détendre un peu après cette histoire folle.

Elle se plongea dans sa baignoire ou l'eau que la servante lui avait mise était délicieuse. Elle chercha ensuite comment faire, comment annoncer ceci à sa mère adoptive. Comment échapper à ces Sallauds* ! Et pour le départ comment annoncer à sa mère son œil tout bleu... Et les tentative que le sieur Orian à faite pour l'embrasser et plus...

Asterie

[Au château de Châteauneuf sur Cher ]

La Baronne était dans la bibliothèque elle prenait un peu de repos il y avait bien longtemps que cela ne lui était point arriver.
Elle était en train de lire un poème de François Villon elle appréciait .


Citation :
Epître à ses amis

Aiez pictié, aiez pictié de moy,
A tout le moins, s'i vous plaist, mes amis !
En fosse giz, non pas soubz houz ne may,
En cest exil ouquel je suis transmis
Par Fortune, comme Dieu l'a permis.
Filles amans jeunes gens et nouveaulx,
Danceurs, saulteurs faisans les piez de veaux,
Vifz comme dars, aguz comme aguillon,
Goussiers tintans clers comme gascaveaux,
Le lesserez la, le povre Villon ?
Chantres chantans a plaisance, sans loy,
Galans, rians, plaisans en faiz et diz,
Courenx alans, franc de faulx or, d'aloy,
Gens d'esperit, ung petit estourdiz,
Trop demourez, car il meurt entandiz.
Faiseurs de laiz, de motés et de rondeaux,
Quant mort sera, vous lui ferez chaudeaux !
Ou gist, il n'entre escler ne tourbillon ;
De murs espoix on lui a fait bandeaux.
Le lesserez la, le povre Villon ?
Venez le voir en ce piteux arroy,
Nobles hommes, francs de quars et de dix,
Qui ne tenez d'empereur ne de roy,
Mais seulement de Dieu de Paradiz ;
Jeuner lui fault dimenches et merdiz,
Dont les dens a plus longues que ratteaux ;
Aprés pain sec, non pas aprés gasteaux,
En ses boyaulx verse eaue a gros bouillon,
Bas en terre - table n'a ne tresteaux -.
Le lesserez la, le povre Villon ?
Princes nommez, ancïens, jouvenciaulx,
Impertez moy graces et royaulx seaulx
Et me montez en quelque corbillon.
Ainsi le font, l'un a l'autre, pourceaux,
Car ou l'un brait, ilz fuyent a monceaux.
Le lesserez la, le povre Villon ?

Lorsqu’elle entendit frapper à la porte. Elle leva la tête entrez.
Gaston l’intendant du domaine entra.


Baronne pardonnez-moi de vous déranger mais un coursier vient d’amener ceci .

Il lui tendit une missive.

Merci Gaston. Elle regarda la missive puis décacheta.

Citation :
Baronne bonjour,

Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, je suis Orian de la Rose Noire Sidjéno le fils d'Oufette de la Rose Noire et de June Sidjéno.
Je vous écrit au sujet de votre fille, Meagan (ig Miama). Je trouve que cette gazoute à un comportement fort déplaisant et cela m'étonne
sachant qu'elle est votre fille, je connais votre sens de l'éducation d’où mon étonnement.

C'était hier en taverne à Châteauroux, votre fille m'as allumé si je puis dire,
et lorsque j'eus répondu à ses avances -j'ai une libido à assouvir- elle me donna un coup de tête qui me fit tomber en arrière contre une table et m'ouvrit le crane, à cet
instant j'eus regretté qu'elle ne sache soigner comme vous, je me fis donc un bandage moi même. Rongée par la culpabilité elle me raccompagna chez moi, comprenez, généralement lorsqu'une fille me
raccompagne chez moi, ce n'est pas pour jouer aux cartes.

D'ailleurs celle ci resta dormir chez moi et ce dans mon lit, mais tout cela en se refusant à moi. Chose dont je n'ai pas l'habitude non plus.
Ce matin au réveil je lui propose de la ramener à la Baronnie, bien qu'elle se soit refusée je n'en reste pas moins bien élevé. Mais voici que j'entends cette dernière maugréer dans mon dos, je lui
demande alors ce qui ne va pas, et elle se met à me menacer de m'éclater le crane comme la veille, surpris je tente alors de la calmer, mais elle continue de me provoquer,
je m'énerve alors- vous devez connaitre le tempérament des de la Rose Noire ?- Je lui dit de partir ce qu'elle commence à faire, mais en m'insultant en Français. Qu'elle m'insulte je ne suis pas trop pour, mais elle pourrait au moins le faire en berrichon.

Il s'en ai suivit tout un tas de choses dont des menaces et des gifles, mon cousin Zelgius est arrivé et elle l'as frappé à son tour, vous devez connaitre votre filleul il ne se laisse pas frappé ainsi, il est donc parti à sa poursuite et votre fille s'est enfermée dans mon bureau et m'as volé des papiers qui me sont très précieux. Échange de courriers professionnel ect.
Je ne me serais pas plaint à vous s'il n'y avait eu que les insultes et les coups, mais j'aimerais vraiment récupérer mes papiers.

Bonne journée bien à vous, Orian de la Rose Noire Sidjéno.

Elle commença à lire ouvrit de grand yeux .

Baronne bonjour,

Citation :
Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, je suis Orian de la Rose Noire Sidjéno le fils d'Oufette de la Rose Noire et de June Sidjéno.

Oui elle se souvenait de lui elle l’avait reçue pour sa visite médicale en tant que médecin de l’ost du Berry. Et le crossait de temps en temps dans les couloirs du FIER pourquoi ce jeune homme lui écrivait-il ? Elle continua sa lecture.

Citation :
Je vous écrit au sujet de votre fille, Meagan (ig Miama). Je trouve que cette gazoute à un comportement fort déplaisant et cela m'étonne
sachant qu'elle est votre fille, je connais votre sens de l'éducation d’où mon étonnement.

Elle ne put s’empêcher de sourire en effet elle était assez strict sur l’éducation de ses enfants. Il s’agissait de Meagan elle ne l’avait pas élevé comme Maxence et Brianna. Celle-ci ayant été élevée au loin dans un couvent à la demande de son père le demi-frère de son défunt mari un enfant conçu hors mariage mais élevé comme tel. Elle avait décidé de la prendre sous son aile. Mais avec la guerre elle avait été plus en sureté hors du Berry. …

Citation :
C'était hier en taverne à Châteauroux, votre fille m'as allumé si je puis dire,
et lorsque j'eus répondu à ses avances -j'ai une libido à assouvir-

Elle posa sa missive .Que quoi norf !

Citation :
elle me donna un coup de tête qui me fit tomber en arrière contre une table et m'ouvrit le crane, à cet
instant j'eus regretté qu'elle ne sache soigner comme vous,
je me fis donc un bandage moi même. Rongée par la culpabilité elle me raccompagna chez moi, comprenez, généralement lorsqu'une fille me
raccompagne chez moi, ce n'est pas pour jouer aux cartes.

Le malotru ! norf ! de norf ! Comment osait ‘il !

Citation :
D'ailleurs celle-ci resta dormir chez moi et ce dans mon lit, mais tout cela en se refusant à moi. Chose dont je n'ai pas l'habitude non plus.

Que quoi ! Elle manqua de s’étouffer dormir chez lui dans son lit ! elle va m’entendre ! Par Aristote !

Bien heureusement qu’elle s’y a refusé !


Citation :
elle se met à me menacer de m'éclater le crane comme la veille, surpris je tente alors de la calmer, mais elle continue de me provoquer,
je m'énerve alors- vous devez connaitre le tempérament des de la Rose Noire ?- Je lui dit de partir ce qu'elle commence à faire, mais en m'insultant en Français. Qu'elle m'insulte je ne suis pas trop pour, mais elle pourrait au moins le faire en berrichon.

Elle ne put s’empêcher de sourire pour qui se prenait ‘il aussi oser la traiter comme une vulgaire catin voilà ce que l’on mérite.
Parlant à haute voix
oh que oui je connais la réputation de certain membres, mon filleul par exemple …
Qu’elle idée aussi avait-elle eu de …Je me demande qu’es qui était le plus insultant lui répliquer en français ou …
Elle sourit.
Je me demande ce …Elle lut la suite

Citation :
mon cousin Zelgius est arrivé et elle l'as frappé à son tour

Asterie se crispa connaissant Zelgius il n’avait pas du apprécié mais qu’est qu’il lui avait pris !

Ce n’est pas vrai décidément !
Volé des papiers ! Comment cela
! Elle se leva la missive dans les mains relut voler des papiers norf! de norf! !

Elle tira sur la cordelette pour appeler Louison.

Baronne.

Lorsque tu verras Meagan demande lui de venir dans l’instant me voir dans mon bureau.

Elle se dirigea dans celui –ci pour rédiger une missive en réponse.
Elle fît les cent pas bien remonté par ce qu’elle venait de lire.Elle relut une fois de plus la missive pensant avoir mal lut . Mais pas du tout c'était bien ce qu'elle ait compris .Se demandant si elle devait en parler à son fils Maxence, se rendre à Châteauroux…Elle n’en revenait pas comment sa fille avait pu se mettre dans une situation pareille, elle allait l’entendre, se compromettre à ce point. Si c’était cela l’éducation donné chez les religieuses cela promettait ! .
Elle prit un parchemin et commença à écrire lorsque que l’on frappa à la porte.


HRP: Texte de François villon:Epître à ses amis.

Orian

«Si vous vous mettez à dos un de la Rose Noire, la famille ne montrera plus ses douce pétales mais bien les épines !» [Orian.]



Courrier envoyé il descendit rejoindre son cousin qui fouillait les papiers. Sourcils froncés il se mit à son tour à genoux au sol et commença à trier et rangé les papiers par sujets et par dates. Orian était quelqu'un de très organisé, aussi ne mit-il pas longtemps à trouver les documents manquant... Le regard soucieux il plongea son regard dans celui de Zelgius.

Il manque trois documents... Et pas des moindre. La lettre que tu m'as écrit au sujet de la mort de Lynngh et de Poum' qui est venue t'aider... Celui sur notre commerce secret et la liste des personnes à éliminer.

Il se releva doucement et appela son page pour qu'il aille ranger les papiers au plus vite avant que le vent ne les emporte. Puis aidant Zelgius à se relever;

Je viens d'envoyer un courrier à la Baronne. Mais je pense que nous devrions nous rendre à la Baronnie afin de régler se problème au plus vite, après tout Meagan n'est qu'une bastarde sa vie ne vaux rien.

Il fit signe à deux de ses dommestiques pour qu'ils préparent les chevaux, ainsi qu'une bouteille de poire pour son cousin, puis sans attendre entraina Zelgius vers les écuries. Son visage n'exprimait pas de joie quand à l'aventure qui les attendait mais un mélange d'inquiétude et de colère, doucement le blond noua ses cheveux en catogan et vérifia qu'il avait bien son épée à la ceinture.

Ne perdons pas de temps allons y !

Il laissa le temps à son cousin de se préparer, puis ils partirent tout deux en direction de la Baronnie. Le vent soufflait dans ses longs cheveux blond et cela n'était pas pour déplaire au jeune berrichon qui commençait à avoir chaud, très rapidement ils arrivèrent près de la destination. Ils devaient être à une demie lieue de la Baronnie, Orian descendit de cheval et attacha ce dernier à un arbre après avoir fait signe à Zelgius de faire de même.

Nous allons nous arrêtez là, mes chevaux porte les couleurs de la maison Sidjéno et je n'ai pas envie d'être repéré si près du but. Nous allons marcher et nous introduire chez ta marraine, ensuite nous chercherons les appartements de la catin et nous récupérerons ce qui est a nous !

Asterie

[Dans le bureau privé de la Baronne]

Entrez !

La Baronne releva la tête le visage sans peu accueillant.


Ah Meagan assied toi j’ai à te parler. Il n’est point besoin de soupirer, je pense que tu dois savoir pourquoi je t’ai convoqué ! Mais auparavant je dois rédiger une missive.

Citation :
Messire Orian
Je connais votre mère ainsi que votre père. Et je vous connais également pour vous avoir croisé au FIER et également à l’ost j’ai bonne mémoire des noms.
Tout d’abord je suis assez surprise de votre missive, non du fait de votre plainte contre ma fille adoptive mais dans le contenu de celle –ci .
Vous propos sont insultants et irrespectueux non seulement envers elle mais également envers moi-même et ma famille .
Vous vous permettez de la traité de catin. Certes son comportement n’est pas digne de sa condition, je vous l’accorde mais un minimum de retenu aurait été la bienvenue.
Elle vous a agressé d’après ce que je comprends c’est pour défendre son honneur.
Vous me dites qu’elle vous a dérobé des papiers de cela, je suis d’accord avec vous, et je comprends votre ressentit.
Je vous propose de venir sur mes terres pour éclaircir cette histoire.
Je me permets de préciser , je vous invite en toute bonne fois.
Je comprends que la jeunesse soit impétueuse mais il serait dommage de faire quelques actions que vous regretterez par la suite.
Présentez-vous à mon garde Tobias à l’entrée du domaine.

Bien à vous.

[RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ? Asterier

Dame Asterie d’Ambparé.
Baronne de Châteauneuf sur Cher.

La Baronne relu rapidement sa missive puis imposa son sceau et sonna pour que l’un des domestiques vienne prendre la missive.
Puis elle releva la tête.


Je t’ai convoqué pour éclaircir quelques points Meagan, tu sais de quoi je parle je suppose ?


Dernière édition par asterie le Mer 12 Sep - 21:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ?   [RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ? EmptyMer 1 Aoû - 21:42

Meagan

[Dans sa belle salle des bains privée]

Meagan était dans son bain depuis un petit moment maintenant, elle y était bien c'est son autre monde qu'elle imaginait une fois dedans. Et là, l'eau était bonne, la détente était bonne, le monde était beau, le silence était bon jusqu'à ce qu'elle entend frapper à la porte. Là tout s’écroulait, le silence bien évidement, la détente, le monde par déduction sauf l'eau qui, elle, restait présente. Elle répondit à la personne qui était à la porte en lui demandant d'une voix douce, fine et en même temps apeurait " Qu'es-ce ?". c'était Louison, qui répondit sur un ton qui ne voulait pas déranger et qui, en même temps, un ton ordonnant. "La baronne voudrait voir Mademoiselle Meagan !" durant ces mots, Meagan eu l'impression de perdre son cœur. Elle savait le pourquoi du fait que sa mère l'appelle. Que va-t-il lui arriver ? La baronne avait peut être pris le côté de son cher, pour elle, filleul et donc par cet acte être dans le "camp" adverse. De cette idée, Meagan resta deux ou trois, peut être, minute sans agir, bouche bée.

Ensuite, elle sorti de l'eau mais ne donna à personne l'ordre de vider la baignoire puisqu'elle avait dans l'idée de revenir dans cette dernière une fois la discutions close. Et oui, après tout, son monde qu'elle imaginé était en cours elle n'allait pas l’arrêter comme cela, subitement. Elle regarda autour d'elle jusqu'à poser son regard sur une robe blanche. Qu'elle enfila au plus vite. Une fois fait, elle sortie de sa chambre les cheveux non attachés et mouillés par dessus le marché, en direction du bureau de la Baronne.

[Dans le magnifique bureau de sa mère, la baronne]

Elle frappa à la porte poliment, on lui dit d'entrer, elle respira un grand coup avant d'entrer et de voir le visage de sa mère. Il était effrayant pour Meagan, elle la plus petite de la famille lui faire ce regard c'était... Bon d'accord elle l'avait cherché mais bon...

Mère je suis désolée de ma tenue peu convenable, je sors de mon bain et espère pouvoir y retourner... Elle sourit légèrement.

Ah Meagan assied toi j’ai à te parler. Il n’est point besoin de soupirer, je pense que tu dois savoir pourquoi je t’ai convoqué ! Mais auparavant je dois rédiger une missive.

La petite brune s'assied et n'osa point répondre. Enfin si, mais elle se répondait à elle même en se le disant dans sa tête. "Mais je soupire pas... Je soupire jamais en plus ! Sa oui je sais pourquoi l'on m'a convoqué et j'aurais préféré... Enfin, oui je sais pourquoi... Une missive ? Suis-je arrivée trop vite ? Je peux retourner dans mon bain sinon, mais je vais rester là bien évidement...".

Après un petit moment la baronne enchaina.

Je t’ai convoqué pour éclaircir quelques points Meagan, tu sais de quoi je parle je suppose ?

Oui, c'est tout à fait normal et de toute façon je serais venue vous parler, bien évidement. Meagan ne savait pas par où commencer. Elle soupira, d'accord elle soupire quelques fois... Je suppose que vous connaissez déjà l'histoire j'ai appris que le sieur... le sieur... Orian... Vous avez écrit et je suppose que c'est à lui ou à votre filleul que vous répondiez pendant que j'attendais sagement. Elle baissa les yeux. Bon, je vais tout de même vous remettre l'histoire en tête même si, pour ma part, je ne l'ai jamais oubliée... Donc c'était le quinzième jours du beau mois de Juillet de cette année. J'étais en taverne comme à mon habitude pour ne point m'ennuyer autrement et il y avait une dame et le présumé sieur Orian, me semble t-il, la dame due partir assez vite pour retourner à ses occupation me laissant seule avec ce... Terrible sieur. Nous en venons, je ne sais comment, à parler d'épée et le sieur me dit qu'il ne fallait jamais toucher à son épée. Je suis humaine, et comme toutes personnes, quand on me dit de ne pas le faire, je le fait cela me paré élémentaire. Je prend donc l'épée et le sieur me plaque au mur, il tente de... M'embrasser en vain une première fois et réussi la deuxième fois en me bloquant les mains et les jambes. Pour mon honneur et ma virginité, je me défends avec ce qu'il me reste soit ma tête. Je lui met donc un coup de tête le faisant basculer en arrière avant de s'ouvrir l'arrière de sa tête sur le sol, il me semble ou une table. Comme bonne demoiselle, je l'aide et je m'excuse de cet acte très... Brutal, je me fais pardonner en le raccompagnant chez lui. Une fois dans sa chambre j'attends qu'il s'endorme pour partir mais il me dit que les nuits Berrichonne son très... Très dangereuse avec des brigands ou des choses comme cela. Prenant peur, j'accepte de rester chez lui et demande une chambre ou je pourrais m'installer et le sieur me prends en m'allongeant dans son lit, bien évidement je me refuse à lui, à son corps. Prenant peur, je n'ose pas trop bouger. Au matin, je vais devant le miroir du sieur et m’aperçois que j'ai un œil assez bleu, d'ailleurs il est toujours présent à ce jour. Je soupire et le sieur me demande ce qui ne va pas je lui répond rien ne voulant pas passer pour une femme battue, je cache cet œil par mes cheveux. C'est alors que le sieur me prend le poignet fermement et le sert. Je le fait lâcher en balançant mon bras. Il me prend alors et me jette sur le lit en s'allongeant au dessus de moi. Choquée, je sors et divulgue des mots à l'égard du sieur. Il me rattrape et tente de me poignarder en brandissant sa dague. Un serviteur l'en empêche, je vais dans la cuisine ou je trouve le sieur, votre filleul, je monte à l'étage et me renferme et vole des papiers espérant me venger avec ces derniers...

Elle baissa les yeux en remontant sa manche laissant apparaitre son poignet avec un gros hématome, familièrement appelé un bleu. Toujours le regard bas elle continua.

Je suppose que vous êtes fâchée contre moi. En pensant que je suis la déception de la famille, ou alors que je suis une incapable, une bonne à rien, une sottes ou n'importe quoi, vous pouvez le dire mais le seigneur d'AiguesMortes me l'a déjà dit, donc vous pouvez économiser des paroles répétitives... Je suis toute ouïe à vous. Si vous me dite de rendre les papiers je le ferais. Si je dois aller à un collège pour parfaire mon éducation, soit, je le ferrais. Si je dois me faire pardonner par les sieur en devant une de leurs gens, ou tout follement passer une nuit avec eux puisqu'ils le veulent, certes, je le ferais. Si je dois quitter le Berry, je le ferais.

Elle baissa en plus les yeux, en s'agenouillant devant sa mère et laissant quelques larmes tomber sur le sol.

Asterie

[Dans le bureau privé de la Baronne]

Asterie regarda sa fille...

Citation :
je sors de mon bain et espère pouvoir y retourner

J’ai quelques doutes quant à la température de ton bain il risque d’être froid quand tu y retourneras.
Enfin je t’écoute, en effet Orian m’a envoyer une missive et en effet je lui répondais. Ne soit pas impertinente, il n’aurait plus manqué que tu n’attente pas tranquillement que je finisse !


Elle écouta les faits ….sourit en entendant l’histoire de l’épée.

Ma fille tu seras qu’à l’avenir il ne faut pas s’approcher de trop près de l’épée d’un homme si tu ne veux pas avoir d’ennui …
Je pense que pour ton honneur et ta virginité comme tu l’affirme tu n’aurais pas dû être seule avec un homme et surtout vouloir lui prendre son arme je ne sais pas à quoi tu t’attendais !


La Baronne soupira.

Norf ! de Norf ! Tu pensais à quoi en allant chez lui seule et sans chaperon c’est comme cela que les religieuses de la béatitude ton appris ! Elle leva les mains je n’en reviens pas, mais à quoi tu pensais je t’avais prévenu mais bien sur m’écouter c’est trop dur, et puis pas intéressant c’est ça ?
Maintenant nous voilà dans une situation bien inconfortable. Et en plus des membres de la famille la rose noire, il ne manquait que cela ! Je n’ose imaginer si tu n’avais pas été ma fille.


Elle pouvait imaginer la rencontre houleuse connaissant l’un des protagoniste son filleul Zelgius , elle avait eu de la chance d’être sa fille sinon elle ne s’en serait pas aussi bien sorti .

Oui je suis fâché tu penserais que je te féliciterais et te dirais bravo, excellent ma fille tu t’es juste conduit comme une fille du peuple, tu fais juste honte à la famille à part cela tout va bien. Je comprends Maxence et j’imagine qu’il a du très mal le prendre le connaissant d’ailleurs cela m’étonnes que tu sois encore présentable il a été indulgent le connaissant, il aurait pu te rosé et tu n’aurais rien eu à dire …
Je t’interdis par contre de dire que tu es sotte ou une bonne à rien, tu es inconsciente oui mais n’exagérons pas.
Par contre j’aimerais que tu ne dépasses pas les limites de ma patience et raconter des idioties ! Faire la domestique et puis quoi encore si tu veux vraiment jouer ce rôle j’ai du travail pour toi au dispensaire tu n’en manqueras pas !


La Baronne se leva posa les deux mains sur le bureau bouillant de colère comment Meagan osait lui suggérer qu’elle pouvait passer la nuit comme une vulgaire catin pour racheter sa bêtise.

Meagan Ambparé ! Quand à passer une nuit avec eux je me retiens de te mettre un soufflet pour ton impertinence et tes paroles !

Je viens d’écrire à Orian , je l’ai invité au domaine pour une explication et lui rendre ce que tu lui à voler . Car jamais il ne sera permis, tu m’entends Meagan ! Jamais il ne sera permis et cautionner le vol dans cette famille. Tu t’es mais dans une situation délicate. Certes tu n’es pas la seule fautive, il ne faut pas non plus exagérer.

J'attends donc leur visite amène moi les documents immédiatement et ce n’est pas la peine de passer par ton bain. Tu resteras d’ailleurs avec moi pour les accueillir.


Orian


Ils étaient tout proche lorsqu'Orian entendit deux hommes parler non loin d'eux. Tirant son cousin par la manche il s'accroupit derrière un arbre et écouta leur conversation. Il était question d'un courrier d'importance que le plus petit des deux devait amener à un de la Rose Noire, l'homme disait ne pas être enchanté à l'idée d'aller voir les gens de cette famille "malfamée"... Orian tourna son regard vers son cousin qui avait déjà le sang battant aux tempes et les yeux brillant d'envie de meutre. Il n'eut pas le temps de s'en rendre compte qu'il était déjà devant les deux hommes sourcils froncés main au col du porteur de lettre.

Qu'es ce qu'ils ont les de la Rose Noire ? Je suis Orian de la Rose Noire Sidjéno et sachez que la famille malfamée aurait déjà accrochée votre tête au bout d'une pique si elle n'avait pas mieux à faire à l'instant.

Doucement il relâcha l'homme qui lui tendis un courrier en lui expliquant que le courrier était pour lui. Surpris, le blond s'en saisit et la décacheta en lançant un regard incrédule à son cousin, ses yeux parcoururent le vélin et il tendis ce dernier au Champlecy.

Citation:
Messire Orian
Je connais votre mère ainsi que votre père. Et je vous connais également pour vous avoir croisé au FIER et également à l’ost j’ai bonne mémoire des noms.
Tout d’abord je suis assez surprise de votre missive, non du fait de votre plainte contre ma fille adoptive mais dans le contenu de celle –ci .
Vous propos sont insultants et irrespectueux non seulement envers elle mais également envers moi-même et ma famille .
Vous vous permettez de la traité de catin. Certes son comportement n’est pas digne de sa condition, je vous l’accorde mais un minimum de retenu aurait été la bienvenue.
Elle vous a agressé d’après ce que je comprends c’est pour défendre son honneur.
Vous me dites qu’elle vous a dérobé des papiers de cela, je suis d’accord avec vous, et je comprends votre ressentit.
Je vous propose de venir sur mes terres pour éclaircir cette histoire.
Je me permets de préciser , je vous invite en toute bonne fois.
Je comprends que la jeunesse soit impétueuse mais il serait dommage de faire quelques actions que vous regretterez par la suite.
Présentez-vous à mon garde Tobias à l’entrée du domaine.

Bien à vous.



Dame Asterie d’Ambparé.
Baronne de Châteauneuf sur Cher.


Amusant ! Très amusant ce courrier nous convoque ici, qu'en pense tu Zel ? Allons y de manière plus officiel mais avant allons chercher nos chevaux, ils pourront ainsi profiter de la nourriture et des écurie de la Baronne.

Les deux cousin prirent le chemin inverse pour revenir au galop jusqu'aux écuries ou il confièrent leurs chevaux au palefrenier. Puis ils demandèrent à parler à la Baronne à un homme qui se trouvaient à l'entrer. C'était de belles terres qu'elle avait la Baronne.

Asterie

[Dans le domaine de Châteauneuf sur Cher]

Deux personnes se présentèrent à l’entrée du domaine. Le chef des gardes Tobias les fît entrer, il avait reçu des consignes de la Baronne.
Un des gardes amena les deux invités aux écuries.
Gaston l’intendant du domaine les conduisit jusqu’au salon leur demandant d’attendre la Baronne qu’il allait prévenir.
……
La Baronne venait de récupérer les documents Meagan était revenue dans le bureau elle n’avait pas eu le choix….Elle avait devant elle plusieurs parchemins les regarda sans y faire attention et sans intention de les lire cela n'était pas sa correspondance et elle n'avait que faire de leur contenus .
Elle leva les yeux vers sa fille lui demandant si par hasard elle les avaient lu .
Je te conseillerais d'éviter de t'en vanter . Et de garder ce que tu as pu lire pour toi. Je n'aurais rien dit si cela avait été de la correspondances royaliste . Elle sourit . Je t'aurais même féliciter mais ce n'est pas le cas . Soupira ...

Gaston se rendit dans le bureau ou se trouvait la Baronne …

Entrez !

Pardonnez mon intrusion Madame la Baronne deux visiteurs souhaitent un entretien. Messire Orian et Zelgius de la rose noire.

La baronne hocha la tête.
Très bien merci Gaston. Elle se tourna vers Meagan. Et bien je pensais que cela serait rapide mais là .Elle sourit très bien allons y .
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MessageSujet: Re: [RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ?   [RP]Un refus puis un vol ? Ou va le monde noble berrichon ? EmptyMer 12 Sep - 21:32

Meagan

« Quand on est en péril de mort toutes les armes sont bonnes pour se défendre. » Paul Claudel

Meagan était là, elle avait le regard fixé sur le sol tout en écoutant sa mère adoptive, pour une fois. Certains mots lui pesé sur le cœur mais soit disant qu'elle les mérités alors...

Ma fille tu seras qu’à l’avenir il ne faut pas s’approcher de trop près de l’épée d’un homme si tu ne veux pas avoir d’ennui …
Je pense que pour ton honneur et ta virginité comme tu l’affirme tu n’aurais pas dû être seule avec un homme et surtout vouloir lui prendre son arme je ne sais pas à quoi tu t’attendais !

Certes, je le saurai à l'avenir et j'aurai même eu l'opportunité de le vivre. Elle fit une légère grimace vers le sol. À quoi je m'attendais ? Je ne le savais pas, au cas contraire pourquoi lui prendre son arme ?

Norf ! de Norf ! Tu pensais à quoi en allant chez lui seule et sans chaperon c’est comme cela que les religieuses de la béatitude ton appris ! Je n’en reviens pas, mais à quoi tu pensais je t’avais prévenu mais bien sur m’écouter c’est trop dur, et puis pas intéressant c’est ça ?
Maintenant nous voilà dans une situation bien inconfortable. Et en plus des membres de la famille la rose noire, il ne manquait que cela ! Je n’ose imaginer si tu n’avais pas été ma fille.

Il me semble que je pensais à me libérer la conscience. Elle sourit légèrement. Les religieuses ? Si vous saviez tout... Tout a fait, Meagan n'a jamais était au couvent. Elle aurait du y allait mais sa vrai mère ayant une autre vision des chose, Meagan n'y a pas été.


Oui je suis fâché tu penserais que je te féliciterais et te dirais bravo, excellent ma fille tu t’es juste conduit comme une fille du peuple, tu fais juste honte à la famille à part cela tout va bien. Je comprends Maxence et j’imagine qu’il a du très mal le prendre le connaissant d’ailleurs cela m’étonnes que tu sois encore présentable il a été indulgent le connaissant, il aurait pu te rosé et tu n’aurais rien eu à dire …
Je t’interdis par contre de dire que tu es sotte ou une bonne à rien, tu es inconsciente oui mais n’exagérons pas.
Par contre j’aimerais que tu ne dépasses pas les limites de ma patience et raconter des idioties ! Faire la domestique et puis quoi encore si tu veux vraiment jouer ce rôle j’ai du travail pour toi au dispensaire tu n’en manqueras pas !



Une fille du peuple ? Elle sourit en coin. Donc la noblesse féminine aurait laissé un sieur agonisant et ensanglanter dans une taverne, seul ? Woua, quel pitié avons nous ! Meagan toussa légèrement. Pour ce qui est de Maxence, mon cher Maxence... Je crois que lui, il m'a compris. Il m'a d'ailleurs aidé et conversé avec moi... Quand je dis faire la domestique ou... Il faut prendre l'idée générale autrement dit, je suis prête à tout faire pour me faire pardonner de tous... Elle se fit couper.

Meagan Ambparé ! Quand à passer une nuit avec eux je me retiens de te mettre un soufflet pour ton impertinence et tes paroles !

Meagan fut apeurée, choquée et surprise en même temps de voir sa mère adoptive dans cette état de colère si énorme, qu'elle n'arriva à parler àprès cela et laissa donc un grand silence, bouche bée.

Je viens d’écrire à Orian , je l’ai invité au domaine pour une explication et lui rendre ce que tu lui à voler . Car jamais il ne sera permis, tu m’entends Meagan ! Jamais il ne sera permis et cautionner le vol dans cette famille. Tu t’es mais dans une situation délicate. Certes tu n’es pas la seule fautive, il ne faut pas non plus exagérer.

Ils... Ils arrivent ?! Je leurs rends juste les papiers et voilà... Je ne veux pas discuter avec eux moi... et vous me laissez pas seule non plus, bien évidement...

Meagan alla chercher des papiers qui n'était pas du tout plié, pas un seul pli. Ils étaient tout beaux tout propre et pourtant ce qu'il dénoncés était du plus important et du plus obscur... Un fois fait, elle resta dans les jupons de sa mère jusqu'à l'annonce de l'arrivé des deux sieurs en questions. Elle, la rebelle n'était pas prête à se laisser faire...

Asterie

La Baronne regardait Meagan elle n’avait pas l’air ravit du tout .

Si Maxence ta compris c’est très bien moi je suis ta mère j’ai mon point de vu . Tu as l’air étonné de ma réaction je ne sais pas ce que tu pensais . Mais il en ai ainsi .
Ne t’inquiète pas je ne te laisserais pas seule avec eux , je ne suis pas d’accord avec ton acte mais n’exagérons tout de même pas . Tu es ma fille et sous ma protection.
Ils ne te toucherons pas je ne pense pas qu’ils soient assez irrespectueux pour ne pas respecter mon hospitalité.

Meagan parti chercher les documents . Elles se rendirent dans le salon ou devait se trouver Orian et Zelgius.

Orian

« Personne ne garde un secret comme un enfant. » [V. Hugo]


Quelques minutes seulement c'étaient écoulées entre leurs arrivée dans le salon et l'entrée de la Baronne suivit de sa voleuse de fille. Il y avait un grand silence dans la salle, Orian posa un regard noire sur Meagan puis alla prendre la main de la Baronne pour effleurer de ses lèvre avant de s'incliner respectueusement. Il jeta un œil vers son cousin qui venait à sa suite de saluer sa marraine.

Baronne bonjour. Nous avons eu votre plis au porte de vos terres ce qui explique la rapidité de notre arrivée, si cela vous coupe dans quelques occupations que vous ayez je m'en excuse.

Il inclina encore la tête puis plaça ses mains dans son dos.

Soudain son regard sur attiré par quelques parchemins présent dans la main de la matrone Ambparé, si elle n'avait pas été une amie de la famille il s'en serait saisit sans discuter, mais il fallait la jouer finement et il avait bien trop de respect pour la Baronne pour agir ainsi.

Je vois que vous avez mes documents entre vos mains, votre fille à donc consentit à vous les donner... Les avez vous lus ?

La dernière question "les avez vous lus ?" ne s'adressait plus seulement à Astérie mais aux deux femmes, la mère et la fille.

Zelgius

«Les femmes gardent secret tout ce qu'elles savent d'elles-mêmes :
Mais elles sont moins discrètes sur ce qu'elles ont appris d'autrui. » [Henri de Régnier]

Et le secret est la plus puissante des forces. Il parait que l'importance d'un homme se mesure au nombre de secret qu'il détient. Le Champlecy s'est donc rendu avec son cousin, le Sidjéno, au domaine Ambparé. Le chemin se déroule d'une façon plus que... "normale" du point de vue du brun. C'est vrai, après tout il est habitué aux tortures et autres règlements de compte. Mais le fait qu'il s'agisse cette fois de garde de sa marraine le laisse de côté pour qu'Orian s'en occupe alors qu'elle lui susurre d'y aller...

Allez ! Va les tuer, tu en crèves d'envie, ne laisses pas ce blond te piquer la vedette... Tu vas très vite passer du pire de la Rose Noire au plus faible à ce rythme.

Non... Pas maintenant... Pas eux... Laisse-le faire, et on l'aura elle. Les papiers n'ont pas d'importances, ils ne servent qu'à nous rapprocher...

Amusant ! Très amusant ce courrier nous convoque ici, qu'en pense tu Zel ? Allons y de manière plus officiel mais avant allons chercher nos chevaux, ils pourront ainsi profiter de la nourriture et des écurie de la Baronne.

Le brun affiche un sourire de façade, voyant là plus une occasion de s'amuser s'envoler que l'officialité des choses.

Bé dame, allons-y. Nous n'aurons pas à tout retourner comme ça...

Déjà les deux Rose Noire s'avancent vers les portes du domaine. Dirigés vers un salon que Zelgius a déjà visité quelques mois plus tôt, il salut sa marraine comme le filleul qu'il est. Dirigeant un regard des plus sombre à la voleuse, un sourire s'étire sur le visage Zelgiusien, le tranchant en deux...

Que vas-tu faire maintenant ? La tuer sous les yeux d'Asterie ? Non, je ne pense pas... Tu aurais dû tuer ses gardes Zelgius !

Enfin, il s'assoit dans l'un des fauteuils, reportant son attention sur Asterie, il rajoute quelques petites choses aux questions d'Orian.

Marraine, comme tu le sais, je ne suis pas béda à faire dans la dentelle. Nous sommes là uniquement car Meagan est de ta famille. Et connaissant la curiosité des gazoutes, je ne doute pas qu'elle est lu tout cela... Tu sais ce que cela signifie ?

Il fit une pause, visiblement dérangé par les faits.

Si j'apprends un jour que ce qu'il y a sur ses documents est sorti de sa bouche, ni toi ni moi ne pourrions la protéger d'une vengeance des de la Rose Noire... Marraine... Il m'attriste vraiment que nous nous revoyons dans de telles circonstances... Mais ta protégée s'en est attaqué aux mauvaises personnes...

Oui... Continues... Gagnes leur confiance, et tues la voleuse une fois que tu as les documents !

Asterie

La Baronne entra la première dans le salon suivit de Meagan à leur arrivées les deux jeunes hommes se levèrent.
Elle s’avança puis tendit la main à Orian de l’autre elle tenait les papiers que Meagan lui avait rapportés.


Ne vous inquiétez point mes occupations peuvent attendent, je suis ravie que vous ayez pu venir rapidement. Elle aperçue le regarda que le jeune homme portait à sa main gauche.
Elle leva les documents en souriant. Elle savait bien qu’il était là pour cela et qu’il avait hâte de voir si elle les avait en sa possession et s’ils seraient restitués.


Oui en effet ma fille me les a remis, il n’était point question qu’elle les conserva.

A sa question par contre elle souleva un sourcil marquant un léger étonnement.

Lire des documents qui ne me sont point adressé ?
Sachez jeune homme que je ne lis point la correspondance qui ne m’est point destiné surtout si j’en connais le destinataire et se serait faire insulte à ma personne si vous le pensiez.
Bien entendu si par le plus grand des hasards s' il me vient entre les mains quelques écrits qui nécessiteraient que j’en prenne connaissance pour le bien de mon duché …
Elle sourit. Mais cela n’est point le cas.
Je ne les aient eux qu’en mains et j’espère que Meagan en a fait autant
dit ‘elle en se retournant et s’adressant directement à Meagan.
Puis se tourna vers son filleul.


Bonjour mon cher filleul, je sais en effet pourquoi tu es ici. Je sais aussi et connais ta façon de t’exprimer, avec un grand sourire, mais je te rappelle que tu es chez-moi si tu pouvais éviter de menacer à mots couverts de vouloir porter la main sur Meagan.
Je ne sais pas si Meagan a lu ou pas les documents mais il est certain
se tournant vers elle que si par curiosité ses yeux se sont portés dessus elle en aura oublié le contenu.
Je vous en prie assoyez-vous voulez quelques chose à boire je suppose que vous devez avoir soif ?


Puis se tournant vers Orian elle lui tendit les documents.

Si nous analysons la situation certes ma fille est fautive, mais vous y avez une légère pars ne trouvez-vous point ? Elle m’a rapporté qu’elle avait lancé des parchemins par la fenêtre pour s’échapper ce qui vous a ralenti car vous l’auriez poursuivi d’un couteau ?
C’est un peu violent et excessif surtout que vous saviez qu’elle était de de ma famille, ne vous avait ‘elle point dit ? Elle vous a frappé mais au départ ce n’était que dans le but de se protéger.

Je suis bien consciente que ma fille à fait une chose répréhensible, le vol n’est pas une habitude chez les Ambparé je dirais que cela est au contraire réprimé. Et elle vous doit bien entendu des excuses officielles.

Nous pourrions également réparer ce désagrément à l’amiable.
Mais si vous le consentez pourquoi ne point me donner votre version.


Zelgius

Bonjour mon cher filleul, je sais en effet pourquoi tu es ici. Je sais aussi et connais ta façon de t’exprimer, mais je te rappelle que tu es chez-moi si tu pouvais éviter de menacer à mots couverts de vouloir porter la main sur Meagan. Je ne sais pas si Meagan a lu ou pas les documents mais il est certain que si par curiosité ses yeux se sont portés dessus elle en aura oublié le contenu.

Un sourire vint furtivement parcourir le visage du plus vieux des deux Rose Noire présent dans la pièce à ses propos. La réponse, elle, se fit bien moins furtive.

Marraine, le seul couvert pour mes mots vient de ce que tu m'as appris sur la bienséance et de nul part ailleurs. Je ne l'utilise que pour ne pas choquer ta fille.

La nuit du regard alla se déposer sur la "fille" en question et y resta alors que de nouvelles paroles franchir les lèvres Champlecyenne.

Bé dame, nous savons tous ce qui arriverait dans le cas contraire... Mais, et cela nous le savons aussi, le fait qu'elle soit de ta famille est la seule et unique chose qui la sauve du courroux des de la Rose Noire. Certes, il faudrait être fou pour s'en prendre à quelque famille de noble berrichon que ce soit, mais la question que ta fille devrait se poser est : "Qui n'est pas fou chez les de la Rose Noire ?" Bref... Les courriers en eux-même ne sont pas important, le fait qu'elle les ait pris, si.

Le brun réaffirma ensuite sa position dans le fauteuil, calant le dos au fond de ce dernier, il reprit quelques mots pour finir.

Je laisse le soin à Orian d'expliquer sa version des faits, je ne suis arriver qu'à la "fin" pour ma part.


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