Une arrivée ... Encore plus surprenante.

Fils du domaine Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 12/06/2011

Maxence avait reçu, plus tôt dans la journée, une missive qui l'avait sourire. La femme si fière était obligée de revenir sur sa décision et, il ne l’admettrait certainement pas, mais cette nouvelle avait illuminé sa journée. Il rentra donc plus tôt au Domaine ... et fît la tournée des chambre.

Au fond du couloir, entre la chambre de Gertrude et celle de Lynette et Louison, il finît par tomber sur une chambre vide. Il jetât un tas de couverture sur le lit, sortit deux bougies puis le jeune Berrichon réfléchit un instant. Il n'y avait que trois chemin depuis l'entrée. Il en exclu deux d'office, le salon et la cuisine. Il ne restait qu'à passer par la salle d'arme. De toute façon, personne n'y mettais jamais les pieds, c'est la suite qui l'inquiétait.
Enfin .. ils verraient bien.
Il passa donc dans la salle d'arme, et ouvrit légèrement la porte fenêtre. Il recula et commença à partir, mais à peine eu t'il ouvert la porte que la fenêtre claquait. Soupirant, il fît demi tour et sortit dans le jardin. Cherchant une pierre, ou quelque chose, pour bloquer la porte, il se rappelait désormais d'un détail ... La porte fenêtre qui donnait sur le jardin était entourée d'une courte haie. Il sourit. Ca allait être du sport ...

Après avoir bloqué la porte, il décidât alors d'aller voir Lynette, il pourrait peut être obtenir sa coopération ... ***

Une fois son entretient avec elle terminé, il attendit quelques heures, dînât avec sa mère, feint d'aller se coucher puis quittât le Domaine pour la ville. La Taverne, précisément. Il en fît une, deux puis trois et enfin ... il la trouva. Il entra.

C'est l'heure. Nous y allons ?

Le berruyer lui laissa quelques minutes pour quitter ses compagnons de taverne et enfin, ils allait partir pour le Domaine ... Comme prévu, la jeune femme râlât pour prendre les rênes, ne les obtiens pas et ils firent le chemin en silence. Ils arrivaient maintenant devant la grille, volontairement, elle aussi, laissée grande ouverte.

*** = cliquez à côté

Invités Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 16/06/2011

Cini vit Maxence rentrer en taverne alors qu’elle était en pleine conversation avec des voyageurs au « p’tit piment doux » N’ayant eu aucune réponse de sa part à sa missive, elle l’ignora donc. Et c’est là qu’il l’interpella de la sorte :

C'est l'heure. Nous y allons ?

L’heure de ??? J’peux savoir hein… Vous m’expliquez votre délire là ?

Elle se mordilla les lèvres comme pour cacher qu’elle était fort contente de son coup. Elle avait bien compris ce qu’il voulait dire par là, mais elle s’amusait de la situation. Krisztina se mit alors à râler encore et encore, elle ne voulait pas partir si vite la bohémienne, réputation oblige. Et puis d'abord, pourquoi était-il si pressé de retourner chez sa moman l'Maxence ??? N’appréciait-il pas passer des moments en taverne en sa compagnie… Allait-il se faire réprimander si elle s'apercevait de son absence... Elle ne put réprimer un sourire amusée à l'idée que c'était la raison de son empressement. Mais pour qui il se prenait lui naméhooooo à la presser de la sorte ??? Personne ne l'avait fait jusqu'alors.. Cependant elle devait bien fermer sa grande bouche pour une fois, pas le choix, sinon c'était la paille et la belle étoile pour c'soir.
Elle quitta ses compagnons de taverne après avoir fait son cinoch habituel. Certes il lui offrait l'hospitalité en l'hébergeant pour la nuit mais fallait pas pousser non plus. Charité ou hospitalité, ça ne légitimait pas le nobliau à lui faire quitter la taverne sans lui expliquer le pourquoi du comment. Ils firent quelques pas jusqu’à son cheval.

Vous me laissez les rênes j’espère au moins pour vous excusez ?

Cini vit bien que c’soir elle n’arriverait pas à en faire ce qu’elle voudrait. Tant pis, elle aura essayé au moins. Elle fit donc le chemin en silence pour lui montrer son mécontentement. Ça promettait donc d’être une soirée des plus folles, m’enfin fallait pas trop se plaindre non plus. Au bout d’une dizaine de minutes, ils arrivèrent devant la grille.

J’suppose qu’à partir de là, j’dois me la fermer ou vous allez me tuer ???

Fils du domaine Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 12/06/2011

Maxence sourit de toutes ses dents.

Voilà ! Vous avez résumer cela parfaitement. Bon ... Je vous explique rapidement. Votre chambre est dans l'aile réservée aux domestique.

Il laissa volontairement un instant de silence. Juste pour le plaisir de voir sa tête à ce moment là.

Et aux invités, bien sur.
Bon ... On va passer par la salle d'arme, la porte fenêtre est restée ouverte. Ensuite, moi j'irais voir si personne n'arrive. Vous, vous m'attendez. Ensuite, vous me suivez, et on arrive dans la chambre. Ca vous conviens ? Et si vous avez quelque chose à dire, vous chuchoter. Premier cris que j'entend, et vous dormez avec les cheveaux.

Il lui sourit. C'était un sourire à moitié sérieux. Façon de signaler que s'il n'oserais jamais la faire dormir sur la paille, elle n'avait pas intérêt à faire trop de bruit. Mais intérieurement, il était presque persuadé d'une chose, si elle avait décidé d'être discréte, tout allait bien mais sinon ... Que Dieu lui vienne en aide.
Aussi il prit rapidement le chemin de la fenêtre, passant par la grille puis par le jardin. Il passèrent sous les fenêtres du domaine, le plus discrètement possible. Soudain, le premier obstacle leur barrait la route : la haie. Lui arrivant approximativement aux épaules, c'était une courte haie de genévrier piquante. Les pires de toutes. Il joint ses mains, afin de l'aider à monter. Façon courte échelle. Puis, parlants bas ..

Je crois que c'est à vous de nous montrer vos talents ... Faites attention à la robe.

Invités Nombre de messages : 5 Date d'inscription : 16/06/2011

Voilà ! Vous avez résumer cela parfaitement. Bon ... Je vous explique rapidement. Votre chambre est dans l'aile réservée aux domestique.

Cini appréciait légérement la blague mais ne lui montra point, trop content qu'il était de la rabaisser de la sorte. Elle laissa promener son regard un peu partout regardant le Domaine familiale. Rupin là où il vivait. C'est alors qu'il poursuivit son blabla :

Et aux invités, bien sur.
Bon ... On va passer par la salle d'arme, la porte fenêtre est restée ouverte. Ensuite, moi j'irais voir si personne n'arrive. Vous, vous m'attendez. Ensuite, vous me suivez, et on arrive dans la chambre. Ca vous conviens ? Et si vous avez quelque chose à dire, vous chuchoter. Premier cris que j'entend, et vous dormez avec les cheveaux.

C'est qu'il veut jouer au comique l'Maxence m'enfin bref... Il en serait même pas capable de me faire dormir avec les chevaux. Son visage se fit inexpressif au possible décidant de lui laisser croire le contraire. Elle n'allait quand même pas le lui montrer naméhoooooo! !!!

Bon, on y va maintenant, j'suis fatiguée moi... J'aurais le droit à une visite du domaine demain sinon ?

Elle répondit à son sourire et s'exécuta comme il lui avait demandé et sans broncher en plus, un exploit pour elle... Mais sa vengeance serait terrible. Elle répondit à son sourire puis suiva l'guide, passa la grille, se faufilla discrétement sous les fenêtres. C'est alors qu'ils se retrouvèrent devant une haie. Elle lui chuchotta à l'oreille :

Vous me faites la courte échelle siouplait ?

Elle le regarda avec une lueur dans les yeux et un sourire tout aussi enjolleur. Vieille technique mais qui a fait ses preuves jusqu'à maintenant.

Vous seriez fort aimable si tel était le cas...

Elle vit l'faire, et eut presque envie de lui faire remarquer la docilité avec laquelle il s'exécuta. Elle posa une main derrière sa nuque puis se hissa grâce à son aide jusqu'au rebord de la fenêtre, s'aggripant avec force et ce sans abimer sa robe de misère. Elle passa l'ouverture de la fenêtre et lui sourit. Elle prit soin de se recoiffer briévement et de remettre sa roble comme il faut. Elle lui décocha un sourire et lui dit les bras croisés :

C'est à vous j'crois là... j'vous regarde faire

Fils du domaine Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 12/06/2011

Maxence la regarda faire. C'est qu'elle l'impressionnait presque, à grimper comme un singe. Mais quand il la vit rentrer, il sursautât.

Non, non, pas par là ... La porte fenêtre !

Bah ... tant pis. De toute façon, ça revenait au même. Il recula de quelques pas.

C'est à vous j'crois là... j'vous regarde faire

Haaaaa ... mais taisez vous, bon Dieu ! Vous allez rameuter tout la maison ..

Il chuchotait très fort, ce qui donnait une voix rauque des plus désagréable, pour un volume sonore inchangé. L'air agacé, il prit son élan. Bon, et puis, pas question de rater, après son sans faute ... Mais, lorsqu'il sauta, la fenêtre sembla s'éloigner. Et dans un dernière effort pour l'attraper, il parvint à poser une main sur le rebord. Mais avant qu'il ne puisse passer l'autre, le métal glissant eu raison de sa poigne ...

Boom ....

Aoutch ! Modiable de Fot-en cul qu'ça fait mal !

Il se rendit alors compte de son erreur ... Non seulement il venait de crier comme un fou furieux les mots les plus grossiers de son vocabulaire, mais il était assis par terre, encore du mauvais côté, avec un mal atroce en bas du dos. Il se releva douloureusement. Il fallait monter là haut, et vite. Avec un peu plus d'élan, il parvint à attraper la fenêtre, passa par dessus la haie et tomba de l'autre côté. Il couru et entra dans la salle par la porte fenêtre. La douleur n'en était pas moins forte, mais l'adrénaline le poussait à aller vite.

Bon aller, on y va, il n'y à pas une seconde à perde. Et pas un mot de cela à qui que ce soit, s'il vous plait ...

Fils du domaine Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 12/06/2011

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