06 Déc 2009 Gargotte Berry - Citation :
- Johanara
Baronnie de Lignières, boudoir cossu et raffiné…
Deux jeunes filles, l’une grande et altière, à la longue chevelure rutilante, Johanara, affriolante en corset de satin parme, houspille sans vergogne la seconde, Mathilde,chambrière de son état .
Et bien? Vas-tu serrer maraude? Lace cette satanée robe ou il t’en cuira!
Le charmant minois de la baronne se teinta de pourpre tandis que la blonde camériste s’emparait à nouveau des rubans de soie, tentant de réunir les deux pans d’une ravissante toilette moirée.
En vain…
M’dame, j’en puis plus! Va casser si j’mentête…J’pourrais ben y faire quelques retouches …
Faisant volte face, le regard vert et étincelant, les lèvres purpurines de la rouquine se pincèrent avant de se retrousser avec humeur.
Dehors ! Fissa! Je ne veux plus te voir petite impotente! A croire qu’on ne te nourrit point! Autant de force qu'un lombric souffreteux! Hors de ma vue!
Une fois seule, Johanara se campa devant la grande psyché d’acajou avec une moue irritée tout en mirant l’admirable tissu sur sa peau d’albâtre.
Tudieu! Cette robe me seyait pourtant à merveille il y a encore quelques mois!
Ses longues mains liliales caressèrent un instant ses hanches chaloupées avant de s’attarder sur son ventre singulièrement arrondi.
Se pourrait il qu’Aristote ai accédé à ses prières? Portait elle en son sein le fruit de ses amours passionnées et impétueuses?
Mathilde!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mathilde????! Petite effrontée! Je ne souffrirai pas d’avoir à t’appeler plus d’une fois! Préviens le Baron de Lignières, je me rends à Bourges. J’espère trouver quelque médicastre honnête, les charlatans pullulent plus vite que la vermine dans la tignasse de la gueusaille!
Dis lui que je suis incommodée et que la toux m’a pris tôt ce matin! Enfin gageons que ce rustre ne quémande point après mon état…
Léger soupir avant de passer une robe de soie ample ainsi qu’une confortable pèlerine de fourrure blanche.
Quelques heures plus tard, un carrosse frappé aux armes de Lignières entrait dans l’enceinte de la capitale, tandis que le cavalier le précédant s’affairait à dénicher un mire susceptible d’examiner sa maîtresse sans que cette dernière ne lui fasse subir ses foudres.
- Citation :
- Asterie
[A l'hospice de Bourges] Comme tous les lundis Asterie se rendait à Bourges non pas au château mais, pour se rendre à l'hospice.
Elle y avait fait ses études de médecine, une fois celle -ci terminées elle aurait pu s'en désintéresser et ne s'occuper que des son dispensaire à Saint Aignan mais c'était sans compter sur la mère supérieure Mère Cunégonde.
Il faut dire que c'était quelqu'un de caractère elle n'aurait pas été dans la religion et un homme elle aurait fait un parfait sergent instructeur c'est que ça marchait droit et attention si vous aviez le malheur de vous trouver non loin d'elle !
Il est vrai quelle était bien secondé également par Soeur Adélaïde !
A côté de Soeur Mariette était un ange et quand on connaissait Soeur Mariette on se demandait comment cela pouvait être pire.
Et bien ci un vrai dragon La mère Cunégonde . Cette comparaison lui allait comme un gant près d'elle la température montait...
Elle souriait car, même avec tous ce que l'on pouvait penser elle était très efficace dans son domaine et la gestion de l'hospice était très bien géré.
Elle dirigeait l'Hospice en main de maître et surtout elle avait réussi à la convaincre de venir un jour par semaine.
Le manque de médecins en étaient la cause des chirurgiens les remplaçaient et vu leurs méthodes ...! Bien bonjour Dame Asterie ! Bien le bonjour Soeur Simone comment aller-vous aujourd'hui ?
Très bien nous avons de plus en plus de monde en salle commune Dame avec le froid qui arrive ! Oui je comprends. La Soeur la regarda avec un petit sourire. Vous allez être encore en retard pour les vêpres. Dites que vous ne m'avez pas vu Soeur Simone ! Mentir par Aristote ma fille ! Oui je sais. Soeur Simone regardait la médicaste toujours avec le même petit sourire allez je ferme les yeux. Merci ma soeur vous êtes un ange ! Assez, Assez ma fille allez dépêcher vous ! Je file ... Il y avait une limite elle voulait bien faire pas mal de choses mais, les vêpres elle s'endormait la plupart du temps. Matin et soir quand elle pouvait s'échapper ...
Elle se rendit dans la pièce ou se trouvait la soeur apothicaire et la soeur responsable des soins. - Citation :
- Zoyah
Une maison Bourgeoise de Chastelroux…
Vomissements…vomissements…vomissements…mais quand est-ce que cela allait cesser se lamentait intérieurement la jeune Castelroussine qui était en proie à de violentes nausées depuis quelques semaines. Plus exactement, depuis qu’elle s’était imbibée au Tokaj suite au « truc ».
La brunette revenait du jardin où à l’abri d’un buisson, elle avait déversé ce que son cœur ne supportait plus et son estomac indocile ne conservait plus. Elle n’était pas vraiment sujette aux nausées matinales, mais plutôt que certaines odeurs lui donnaient des haut-le-cœur souvent fatals au repas ingurgité. Sa mine blanche, ses yeux humides et rougis ainsi que la main qu’elle portait à sa gorge et l’autre à son ventre comme pour mieux repousser un énième assaut de ses intestins, trahissaient de manière évidente ce qui l’avait contrainte à sortir aussi rapidement.
Vous êtes « encore » malade…constata d’un ton faussement neutre, la vieille domestique en train de peler quelques navets en vue du déjeuner.
Elle avait bien insisté sur le mot « encore » afin que la demoiselle comprenne qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. L’œil avisé de la vieille dame avait rapidement appréhendé les transformations qui semblaient s’opérer discrètement mais sûrement chez sa maîtresse. Les bustiers devenaient étrangement trop serrés, trahissant une poitrine déjà naturellement avantageuse, mais de surcroit anormalement bombée et tendue....prémices d’un futur allaitement à qui sait le voir. Ce n’est pas le cas de Zoyah qui a mis sur le compte de ses excès de bière le gonflement soudain de ses deux seins. Les saignements devenus quasi-inexistants ou trop peu depuis quelques semaines, même si les douleurs les accompagnants étaient bien présentent. La matrice de la jeune femme semblait légèrement la faire souffrir comme si elle annonçait la période mensuelle mais en vain.
Vous savez bien…c’est depuis cet abus trop excessif que je suis constamment malade…ça va pass…elle s’interrompt brusquement. Son teint blanc se fait plus blême. Non...ça ne veut pas passer…Mathilde ! Vous le faite exprès ! Ouvrez la fenêtre et ôter cette sauce au verjus, vous savez bien que l’odeur me donne des haut-le-cœur !...
La domestique s’exécute docilement et ouvre une fenêtre vers laquelle Zoyah se précipite afin d’inspirer quelques bouffées d’air frais.
Puis la vieille dame patiente, attendant la bonne occasion pour parler à sa jeune maîtresse qui s’obstine à ne pas voir l’évidence même. Et ne parlons pas du compagnon qui bien que souvent hypnotisé par le décolleté excessivement bien garni de sa belle, ne semble même pas s’être posé la question de ce qui en était à l’origine. A sa décharge, ses absence prolongées depuis quelques semaines également.
Une fois que la maitresse de maison eut refermée la fenêtre, la nourrice prit la parole. Le ton se voulait confiant et rassurant, même si la vieille dame était loin de l’être.
Mademoiselle, je crois qu’il faut que vous cessiez de mettre sur le dos de ce fâcheux évènement, vos nausées et les maux qui les accompagnent. Si dans les premiers jours s’étaient bien évidemment les suites de votre cuite qui vous ont rendu fortement...hum…indisposée…ce n’est plus le cas maintenant. Il y a autre chose…
Mathilde marqua une pause, à l’affût d’une réaction de Zoyah qui semblait étrangement calme vu ce qu’elle tentait de lui faire réaliser.
Autre chose ?... se contenta de répéter d’une voix faible la Castelroussine.
Oui…autre chose…faisant tomber son regard sur le ventre de Zoyah.
« Fichtre, je ne la pensais pas aussi godiche ou alors elle le fait exprès » pensa Mathilde.
Une chose à laquelle Messire Ashlaan n’est pas étranger…rajouta-elle.
Le visage de Zoyah afficha soudainement le masque de la frayeur…Oh non…Oh non ...oh nonnnnnn !...s’écria-t-elle prise de panique.
Et si…renchérit Mathilde presque compatissante.
Ce n’est pas possible, il ne m’a pas fait ça !
Oh que si, il l’a fait…surenchérit la vieille un tantinet railleuse.
Oh mon dieu c’est horriiiiiiiiiibleeee !…portant ses deux mains à sa bouche.
Allons, allons…il fallait bien que ça arrive un jour…il fallait rester chaste si vous ne vouliez pas courir le risque. …sur un ton moralisateur.
Le mécréant !…comment a-t-il osé !…enfin…grimace pour contenir le flot de larmes et les couinements hystériques qui menacent de sortir de sa bouche.
Oh mon Dieu…je comprends pourquoi il s’absente pendant des jours durant…il doit suivre une cure ou se soigner….ce faisant, la jeune femme commence à arpenter la pièce de long en large.
Mathilde fronce les sourcils…pardon ?...une cure ?
Mais oui, bougre d’idiote ! Vous aviez raison…il m’a certainement…*couine*…refilé une maladie *recouine*…honteuseee…rhhooooo….*cccccccccccccccouuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnne*
La vielle dame ouvrit grand les yeux, atterrée par ces propos, tandis que la brune poursuit et expose sa théorie.
Je me souviens qu’un jour Eal m’avais raconté qu’elle tenait de Madame Grandpin que la fille du boucher de son neveu avait le même genre de symptômes…reniflant fortement… Enfin…elle, c’était une autre partie de son corps qui avait gonflé…et elle était souvent malade aussi…c’était parce que son mari …qui comme tout le monde le sait, a culbuté tout ce qui existe en pouilleuses dans le village…bref…et bien ...il lui avait refilé une maladie honteuse…*coooiuunnne*…oh…non pas mon Ashou…il m’avait juré pourtant…rhhoo…snnifff…épongeant ses yeux avec un mouchoir.
Mathilde mit sur le compte des hormones, des nerfs fragilisés par les récents évènements et de l’état de la jeune femme, le pathétique de la scène.
« Mais où est-ce qu’elle va chercher des idées pareilles…elle nous aura tout fait décidément » songea la nourrice un brin dépité en soupirant.
Il faut que je vois un médicastre !...déclara vivement Zoyah…je ne peux pas rester comme ça…
Bonne idée…confirma la vieille qui venait d’abandonner l’idée de faire entendre raison à la demoiselle. « Vaut mieux que cela soit lui que moi »…se dit-elle.
Un éclair de génie…enfin du moins ce qu’elle croit l’être...fuse dans la caboche bouleversée de la brune. Généralement, elle n’était pas de nature hystérique, bien au contraire, elle était plutôt pondérée. Cependant beaucoup de choses en peu de temps l’avait secouées et souvent, non sans brutalité.
Jonas doit se rendre à Bourges …je vais aller avec lui…hors de question que je consulte à Châteauroux. Imaginez si cela venait à se savoir…*rerecouine*…A Bourges, je passerai facilement incognito…hochant de la tête à cette déclaration.
Je m’occuperais du cas d’Ashlaan en rentrant…faisant quelques pas en direction de sa chambre afin de s'apprêter puis se retournant...allez donc aiguiser la hache...
Et c’est ainsi, qu’au rythme des arrêts vomis et des pauses pipi, une charrette tirée par un gros percheron franchit les portes de la Capitale.
- Citation :
- Johanara
Impatiente, ses longs doigts tapotant nerveusement la banquette en velours purpurin du coche, Johanara guettait le retour de son domestique, l’œil errant sur les silhouettes mal fagotées et le triste pavé de la grande place de Bourges.
Bougre d’âne bâté… Tu aurais dû l’accompagner Mathilde. Tu n’es certes pas très dégourdie ma pauvre fille mais tu vaux bien dix bourricots dans son genre. Ah mais le voilà qui s’en revient. Misère qu’il a l’air benêt!
L’homme retira son couvre-chef avant de s’incliner le regard rivé à ses poulaines.
M’enfin? Est il temps de faire des cérémonies quand je me meurs?! Où est le médicastre?
Grimace. Quelques balbutiements en guise de réponse et le pauvre valet d’avouer non sans crainte que les mires s’en sont allés! Tous en visite ou en goguette dans le duché!
Si Madame la Baronne désirait consulter, il lui faudrait se mêler à la plèbe et daigner fouler les sols crottés de l’hospice de Bourges de son pied joliment chaussé.
Foutre-dieu! Et risquer d’attraper les miasmes de tous ces tuberculeux souffreteux? Allons bon! On m’assassine! Qu’on me tonde si je m’abaisse à recevoir les mêmes soins que la populace!
Ploc!
Alors que la respiration de la jeune femme s’accélérait sous l’effet du courroux , sa poitrine opulente se soulevant en rythme, le col de son corsage céda.
Un petit cri d’hébétude s’échappa de sa bouche carmin.
Norf de norf…. Après tout l’hospice jouit d’une bonne réputation…
Rabattant son large capuche sur son front flamboyant , la belle se laissa escorter,maugréant contre les mendiants et les badauds, priant in petto pour ne point être reconnue.
Oh mais c’est vous Baronne! Quelle joie! De retour en Berry?
Humpf! Raté! Faisant face à l’importune, la rouquine fit quelque sourire de façade mielleux à la bourgeoise endimanchée et poudrée à outrance.
Ma foi , je vais où l’amour me porte! Vous savez comment sont les jeunes mariés , toujours à chevaucher par monts et vaux!
Je me suis fais bien du soucis pour votre délicate personne! Épouser un auvergnat tout de même! Mais malgré leur pingrerie notoire, je constate que vous êtes bien nourrie! Vous qui aviez la taille si gracile , voyez comme le mariage change la tournure! Nous pourrions presque nous prêter nos effets dorénavant!
Manquant s’étouffer, Johanara réussit à hocher la tête avec douceur avant de prétexter quelque rendez vous de la plus haute importance pour fuir la fâcheuse indélicate.
Ventre saint george, cet hospice est plus fréquenté qu’un moulin! Va , trouve Astérie , il me semble que le lundi elle dispense ses bonnes œuvres dans ce bouge.
Mais tiens! Ne serait ce pas cette chère Zoyah!!! Ma belle amie! Quel plaisir de vous revoir! Votre présence rend l’endroit moins sinistre! Vous n’êtes pas souffrante au moins???
- Citation :
- Bastien
Ouf! Il était enfin arrivé en Berry. Le voyage fut éprouvant. Racketté pas une mais deux fois, presque trainé en procès en Limousin pour... m'enfin, aucune raison valable... Tout un trajet depuis l'Armagnac sans prendre la peine de s'arrêter pour se reposer. Et seul, par les temps qui courent. Le jeune homme avait beau être entraîné aux armes, il aurait très bien put se retrouver mort égorgé dans un fossé. Mais tout ces risques, il les avait prit pour une (façon de parler) bonne raison. C'est qu'il est tombé amoureux, ce pauvre crétin, de la dame de compagnie de la rousse, pendant le mariage de cette dernière, et avait fait le trajet pour lui déclarer sa flamme. Maintenant, il lui fallait la retrouver.
Le Berry, sa terre natale. Il n'y était pas revenu depuis son enfance au domaine de Chéry. D'ailleurs, il y retournerait certainement pour chasser quelques fantômes.
Avant tout, il lui fallait se rendre au dispensaire de Bourges faire panser quelques plaies jamais refermées, gracieuseté de quelque brigand rencontré en chemin. Après ce voyage épique, il était en loques, une loque armé néanmoins et quelque peu frustré par certain accueil reçu en chemin mais une loque tout de même.
À Bourges, il ne perdit guère son temps se rendit directement au dispensaire où on lui demanda de patienter avec les gueux. N'ayant guère le choix que d'attendre, il se mit à penser à haute voix. Une étrange habitude qu'il avait prise en chemin que de se parler à lui-même n'ayant personne qui pourrait surprendre ses paroles étant seul sur les routes.
«Maintenant que je suis arrivé, je vais devoir tenter de la retrouver. Ça ne sera pas une mince tâche à faire, j'ai tout de même beaucoup de terrain à couvrir. Par contre, les chances sont de mon côté en commençant par Bourges. Les probabilités qu'elle y soit son plus grande qu'ailleurs. Néanmoins, rechercher un femme en particulier, même en connaissant sa description ne sera pas facile. J'aurais plus de chance de la trouver en retrouvant dame Johanara. Disons que la belle rouquine passe moins inaperçue que la plupart des gens et ce, peu importe où elle se trouve. De plus, elle est bien connue ici, quelqu'un l'aurait sûrement déjà vu. Je crois que c'est la meilleure des options que j'ai présentement. Dès demain, je m'y mettrais.»
- Citation :
- Lilya
[Bourges dans une mine]
- Ma fille vous allez me faire le plaisir de rentrer chez vous et avant cela d'aller voir un médicastre de surcroit, je ne veux plus vous revoir ici tant que vous ...ferez ce que vous venez de faire sur mes chausses
Et voilà troisième jour que la jeune fille se faisait virer de la mine en pleine journée, l'air de l'extérieur lui fit du bien, elle fit quelques pas à l'extérieur, quand une nouvelle nausée la prit.
La jeune femme s'assit par terre et repris son souffle. Se redressa et parti en direction de chez elle...
Le médicastre, elle se demandait qui cela pouvait bien être, elle se changeât quand elle senti deux bras l'enlaça.
- Alors ma chérie, tu t'es encore fait viré
Le regard que lui jeta la jeune fille, fit taire vite l'helvète
- norf de norf tout est de TA faute...il parait qu'un médicastre va venir, non que je mette tes compétences en doute, mais tu vois, j'aimerai savoir pourquoi je m'endors et pourquoi des qu'une sale odeur se présente
La jeune fille jeta un coup d'œil au truc nauséabonde qui trôner dans la pièce principale (enfin de truc on parle là d'un sofa qui a tout connu la gloire, la décadence, la guerre, les morts couché dessus) elle rêvait de le voir bruler mais des qu'elle passait à l'acte les amis de Rudy arrivât et protéger l'adite chose...
Elle finit de se préparer, Rudy l'aida à attaché l'énorme chevelure brune et lui déposa un baiser dans le cou
- Ton médicastre te diras comme moi tu es enceinte
Lilya bougonna ca pour être enceinte elle l'était vue comme tout le monde la surprotéger, mais elle voulait savoir si tout se passer bien depuis que tantine lui avait glissé à l'oreille vue son jeune âge, il pouvait y avoir des risques
- Tu m'accompagnes ou tu m’attends ? Sinon tu me rejoins là bas !
Elle l'embrassa tendrement, lui murmura des mots à l'oreille puis elle parti au cœur du village. Des gens faisait la queue la jeune fille soupira il allait falloir attendre, quand un attroupement lui fit dresser la tête, et vit une chevelure rousse au milieu de ce troupeau. Elle s’approcha et la salua puis se tourna vers la Dame qui accompagnait Johanara
- Je suis Lilya enchantée
Oui on lui avait appris à être polie,(enfin tout dépends avec qui) les deux femmes avait l’air de se connaitre et Lilya avait l’impression de connaitre la brunette mais d’où tel était la question….