Le maire de Bourges qui avait apprit l'installation de la médicalement réputée Asterie à Bourges c'était promit depuis plusieurs jours d'aller lui rentre visite. Il profita du calme de son lundi matin pour aller voir l'avancé du chantier. C'est ainsi que le Duc de Dun-le-Roy se retrouva devant la Baronne de Châteauneuf qu'il trouva près du chantier à en observer l'avancé. Celui-ci s'approcha d'elle et lui dit un sourire aux lèvres :
Le bonjour Asterie, comment vas tu ?
Asterie entendit la une voix connue se retourna sourit à l’homme qui se trouvait juste à côté d’elle.Votre Grace bien le bonjour lui sourit. Je vais bien merci et toi ? Comme tu vois je suis assez occupé, je surveille les travaux de mon nouveau dispensaire il y a pas mal de travail.
J’ai déménagé il y a peu mais, je n’ai pas je dois l’avouer passer à la mairie te présenter mes respects en tant que Bourgmestre.
Je sais ce n’est pas bien je le reconnais donc je te présente mes plus humbles excuses.On pouvait entendre au loin ….
https://www.youtube.com/watch?v=ZOLiv-i6KPk GARS
Eh ! Zarakaï ?
ZARAKAÏ
EH BEN QUOI ‽
GARS
Chante nous la chanson à boire !
ZARAKAÏ
OK ! Mais vous chantez le refrain avec moi ‽
TOUS
Ouais !
ZARAKAÏ
La dernière phrase de ce refrain ressemble à une citation de Musset : « qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse ».Parmi les comptines et les belles histoires,
Je préfère de loin cette chanson à boire,
Un bol, une louche, une chope, un godet
Qu'importe le vase si t'es toujours bourré !
GARS
AHU !
TOUS
AHU !
ZARAKAÏ
Mes amis, mes frères, je vais vous raconter
L'histoire de Krak, le nain barbare benêt
Qui un jour de cuvée, s'était tellement torché,
Que dans sa caverne, il s'est connement paumé !
ZARAKAÏ
Pour sûr le gaillard, il devenait bavard !
Couinant dans le noir, qu'il allait rentrait tard.
Traversant la forêt, en gueulant "chui beurré" !
Moi, j'aurais parié qu'il finirait crevé !
ZARAKAÏ
Parmi les comptines et les belles histoires,
Je préfère de loin cette chanson à boire,
Un bol, une louche, une chope, un godet
Qu'importe le vase si t'es toujours bourré !
GARS
AHU !
TOUS
AHU !
ZARAKAÏ
Soudain inspiré, Krak se met à beugler
"Je vois mon destin, il me faut l'attraper"
Faut bien dire que l'ivresse, quand on est un vrai nain,
Vous donne à peu près le pouvoir des devins.
ZARAKAÏ [bouteille qu'on débouche]
LOL : Poux, choux, hiboux et genoux prennent un x : deux de ces mots particuliers sont présents ici.Allant titubant, la bouteille à la main,
Voilà Krak le nain, courant comme un bourrin,
Tout à coup un grand coup, le voici à genoux
Il s'est pris un mur, le voilà dans les choux !
ZARAKAÏ
Parmi les comptines et les belles histoires,
Je préfère de loin cette chanson à boire,
Un bol, une louche, une chope, un godet
Qu'importe le vase si t'es toujours bourré !
GARS
AHU !
TOUS
AHU !
ZARAKAÏ
Krak se releva, la tête endolorie,
En gueulant "Bordel ! qu'est-ce qui m'a estourbi ? »
Alors qu'il s'énervait, le voici ébaubi,
C'est sa propre chaumière qui se trouve devant lui.
ZARAKAÏ [rot dans la taverne]
Soudain c'est l'angoisse, Krak se met à blêmir
Il entend sa naine, qui commence à rugir,
Il se dit : "oh putain ! je devrais déguerpir
si je reste ici, elle va me démolir !"
ZARAKAÏ
Parmi les comptines et les belles histoires,
Je préfère de loin cette chanson à boire,
Un bol, une louche, une chope, un godet
Qu'importe le vase si t'es toujours bourré !
GARS
AHU !
TOUS
AHU !
ZARAKAÏ
En arrière plan sonore, on entend un ivrogne prophétiser «écueil, cercueil, c'est pareil».Notre ami groggy, se creusait la cervelle,
Trop tard car voici sa terrible donzelle,
Le poêlon à la main, et la fureur dans l'œil,
Firent comprendre à Krak qu'il y avait un écueil.
ZARAKAÏ
La naine maîtrise la poêle en arme de jet, Moumoune en arme de corps à corps. Redoutable objet, la poêle !Elle lui dit « Mon gars, je vais te dessaouler »
Très vite il comprit qu'il valait mieux filer !
Au lancer de la poêle, la naine est très douée
C'est peu de le dire, Krak fut décapité.
TOUS [oh puteing !]
Hardis compagnons, prenez-en de la graine,
Si vous picolez, chantez cette rengaine.
Mais si vous devez, rentrer à la maison,
Faudrait tout de suite reboucher les bouchons !
2.2. Chapitre 2 – Conclusion lucrativePasser en mode édition
TOUS [applaudissements]
Bravo ! Superbe…
ROGER
Cette chanson était sponsorisée par les taverniers qui demandent aux nains de ne plus rentrer bourrés le soir.
TOUS
Bouuuuh !
ROGER
Quel commercial, ce Roger.C'est une astuce… c'est à dire que vous pouvez rester à la taverne, pas la peine de rentrer !
Comme chaque fois qu’elle le pouvait Asterie passait au cabinet médical pour voir l’avancée des travaux.
On entendait encore quelques coups de marteaux c’était presque fini, il ne manquait que l’aménagement intérieur. Attention Baronne !
Un jeune ouvrier passa devant Asterie avec une bériouette avec de la chaux pour les murs.
Une fois que cela fût terminer Asterie passa dans toutes les pièces et y fit bruler des clous de girofle.
Il ne manquait plus que l’aménagement… Les ouvriers avaient terminé le calme régnait de nouveau.
Asterie fît mettre de l’armoise dans toutes les pièces également après avoir aperçue un des ouvriers l’odeur qu’il dégageait malgré sa demande d’avoir des personnes habiller correctement . Elle Fît mettre dans toutes les pièces de l’armoise pour tuer les puces précautions supplémentaire.
En premier elle aménagea les différentes pièces qui allaient recevoir les malades. Il faudra encore y ajouter les différents tentures et rideaux, elle avait commandé tout cela chez Maitre Drapeline .Il portait bien son nom …Salle 1La salle commune avec séparation pour les contagieux Salle 2Salle communes avec séparationSalle 3
Salle commune sans séparation,
il y avait aussi des chambres privées.Salle des Remèdes :Salle pour la préparation des différents remèdes. Attention c’est fragile aller y doucement. Ben Dame ! Quelques temps plus tard tout état mis en place.
Les cuisines n’étaient pas encore tout à fait terminer... puis la salle des morts il fallait faire une ouverture dans le mur pour avoir un accès direct avec l’extérieur pour le Croque mort.
Asterie était fatiguée la journée avait été longue.
Encore une semaine et le dispensaire serait enfin prêt.Asterierevient à son office tout était fin prêt elle se rendit dans la salle du linge pour y vérifier avec une jeune novice qu’elle avait pris avec elle à son office que tout soin en ordre.
Sœur Mariette allait lui manquer celle –ci n’avait pas la même ferveur que Sœur Mariette elle soupira, peut-être on ne sait jamais si…
Mais que lui arrivait ‘elle non ce n’était pas possible ! qui aurait cru qu’elle s’ennuyait presque de la Sœur.
Elle sourit d’autres devaient arriver quelle chance ! Elle serait encore surveiller mais bon, c’était le prix à payer pour être tranquille avec l’église, pas qu’elle avait quelque chose à se reprocher loin de là . Il se disait tellement de choses à son sujet non seulement elle était veuve, fesait partie de la noblesse, pratiquait la médecine s'occupait des personnes sans le sous, pour ses confrère c'était presque une hérésie mais en plus! pour ajouter à tout cela, elle faisait partie du FIER, du moins y était revenue. Le parti qui était soit aimé soit détester. Il y avait de quoi palabrer et alimenter les sujets de conversation dans les salons …
Elle se rendit à son bureau et commença à mettre en ordre son journalier…Il lui faudrait également recevoir les différentes embauches qu’elle avait formulé, pour le ménage, les soins…
On frappa à la porte la jeune novice entra et proposa une collation au médecin cela faisait maintenant quelques heures qu’elle était le nez dans ses livres. Oui merci c’est très gentil j’avoue avoir un peu faim, j’ai un défaut des que je suis dans mes livres et mes rapports j’en oublie le temps qui passe. Vous devriez faire attention Dame ce n’est pas bon pour vous . Asterie sourit ne vous en faites point pour moi j’en ai l’habitude. La jeune novice la regarda avec un léger sourire. .
Je vous apporterais des collations lorsque je verrais que vous dépassez l’heure Dame je ne voudrais pas que vous soyez indisposé dû au manque de nourriture. Asterie la regarda c’était bien sa veine décidément on n’était pas tranquille …Pas elle, pensant enfin être libre d’une Sœur en revoilà une autre décidément à croire que …
Elle lui sourit et commença à manger tout en continuant son travail… Encore une mauvaise habitude mais bon ce n’est pas maintenant qu’elle allait changer …